Le changement climatique nous oblige à repenser profondément lʼarchitecture et à déplacer notre intérêt dʼune approche purement visuelle et fonctionnelle, à une approche plus sensible qui sʼattarde dʼavantage sur les paramètres invisibles et climatiques de lʼespace. Glissant du plein au vide, du visible à lʼinvisible, de la composition métrique à la composition thermique, lʼarchitecture comme météorologie ouvre d’autres dimensions, plus sensuelles et plus variables, dans lesquels les limites se dissipent et les pleins sʼévaporent. Il ne sʼagit plus de construire des images et des fonctions, mais dʼouvrir des climats et des interprétations.
Le changement climatique nous oblige à repenser profondément lʼarchitecture et à déplacer notre intérêt dʼune approche purement visuelle et fonctionnelle, à une approche plus sensible qui sʼattarde dʼavantage sur les paramètres invisibles et climatiques de lʼespace. Glissant du plein au vide, du visible à lʼinvisible, de la composition métrique à la composition thermique, lʼarchitecture comme météorologie ouvre d’autres dimensions, plus sensuelles et plus variables, dans lesquels les limites se dissipent et les pleins sʼévaporent. Il ne sʼagit plus de construire des images et des fonctions, mais dʼouvrir des climats et des interprétations.