En dépit de sa marginalité, la culture tectonique conserve un noyau résiduel de résistance, qui se manifeste particulièrement par sa propension tactile. Cette dimension résiste à la poussée contraignante du capitalisme, déterminé aujourd’hui, plus que jamais, par un processus mondialisé de marchandisation. […] Cela illustre le dilemme auquel est confrontée la profession : soit les architectes conserveront leur contrôle sur l’art de construire […], soit la profession, telle que nous la connaissons, cessera d’exister.
– Studies In Tectonic Culture, 1995